Qui a dit que les hommes ne savaient parler que de leurs nombrils ? Pas les nôtres en tout cas. SouRIRES ! Parce que pour l'édition 2016 la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, le principe inauguré l'année dernière a été conservée : quatre hommes pour quatre égéries africaines. Le roi de cœur du 31 juillet 2016, Delo comédien, auteur, metteur en scène et producteur nous parle brièvement de la Kényane Wangari Muta Maathai biologiste, enseignante, militante féministe, pacifiste et écologiste.
Quant à nos trois blogueurs collaborateurs, Benjamin Yobouet nous présente la journaliste et femme de presse Agnès Kraidy, le choix d'Anthony Mouyoungui s'est porté sur la femme de lettres et entrepreneuse Charline Effah et enfin Guillaume Djondo replonge dans son enfance pour ressusciter la diva et militante Miriam Makeba. Je suis gré à tous ces hommes d'avoir accepter cette invitation, qui permet de rappeler à notre bon souvenir deux femmes africaines aux parcours exceptionnelles, et, qui m'offre l'opportunité de mettre en lumière deux femmes que je ne connaissais pas, sinon de nom pour l'une d'elle.
D'un clic vous aurez accès aux égéries du 31 juillet 2016.
Bonne lecture !
Wangari Muta Maathai
Charline Effah
Aussi loin que remonte ma mémoire, je ne me souviens pas avoir eu ce que l’on appelle ‘’une muse’’, une femme célèbre qui m’aurait inspiré d’une façon ou d’une autre. La femme qui m’inspire depuis que je suis sur terre est celle justement qui a rendu mon arrivée possible. Mais, n’étant pas célèbre, je ne pourrais pas parler d’elle ici.
Miram Makeba
Une femme forte et déterminée, feu Miriam Makeba, m’a beaucoup inspiré à cause de son engagement pour la liberté d’expression. Et d’autres causes nobles, communautaires, universelles contre l’apartheid. Elle est ma muse Africaine. Je l’ai connu très jeune dans ma petite enfance pour son tube célèbre « pata pata ».