La présence de la contribution digitale à la Journée Internationale à la Femme Africaine sur les réseaux sociaux a été sporadique passant d'une seule plateforme en 2015 couplée avec la création du site, à quatre réseaux en 2018. Vous le savez sans doute chers lecteurs adorés que toutes ses ramifications sont chronophages pour qui les utilisent véritablement dans le but d'être "social" donc de créer des liens et d'échanger, et non de simplement balancer des informations, faire sa promotion et accessoirement polémiques sur les sujets qui font le buzz.
C'est sur Google Plus que la contribution est la plus prolifique et pour cause, c'est la voie royale de toutes requêtes sur internet, peut-être que vous qui me lisez en ce moment êtes arrivée sur ce blog ou sur le site en tapant une certaine recherche englobant un de nos mots clés ? Quoi qu'il en soit, lors de la reprise des festivités, c'est toujours par là que je recommence.
Facebook est notre réseau le plus important à la fois par le nombre d'abonnés que par la régularité des interactions. Bien que force est de constater que les changements d’algorithme et le commercial poussif de Zuckerberg et ses actionnaires constituent un frein à la multiplication des publications. Cependant, nous gardons le rythme et vous vous pourrez toujours vous délecter en plus des relais de nos articles, de quelques citations joliment illustrées, de nos gourmandises visuelles, des intermèdes musicaux, des pauses fashions et divers hommages.
De plus en plus présent sur Instagram, nous y avons également quelques rituels qui font des citations de motivation, au mardi gratitude, en passant par le vendredi lecture, le bisou du samedi et une multitude de série "reposts" de publications inspirantes quand il ne s'agit pas de clins d’œil à des complices.
Bien que Twitter soit encore le parent pauvre de la contribution, je ne désespère pas d'enfin trouver la clé de son fonctionnement.
Enfin, l'application Whatsapp expérimentée cette année pour la compilation musicale au féminin s'est avéré prodigieusement efficace pour toucher les 18 à 25 ans qui s'en servent comme d'un réseau social. C'est une affaire à suivre !
Chers lecteurs adorés, la table est mise, je vous espère déjà !