Les maîtres mots de la contribution digitale à la Journée internationale de la Femme Africaine sont "relayer, inspirer, encourager et féliciter". Après les têtes couronnées viennent les muses, ces femmes africaines qui d'une manière ou d'une autre ont influencé notre parcours à un moment clé ou qui sont des égéries constantes et permanentes. Les collaborateurs ont également été sollicités pour honorer leurs muses africaines, retrouvez-les dans la rubrique au masculin en cliquant ici leurs égéries
Folorunsho Alakija
Ainsi parle Fleur Nana Mengue de sa muse : c'est La femme africaine la plus riche, une nigériane qui a commencé comme agent à la banque, puis s’est lancée dans la mode, puis à oser investir dans le pétrole. Un parcours pleins d’embûches de combats, je suis admirative qu’elle soit toujours mariée au même homme et elle est mère de 4 enfants.
Ayaan Hirsi Ali
Cette militante, femme politique et écrivaine d'origine somalienne Ayaan Hirsi Ali est la muse de fulgurance de Grace Bailhache. Découverte par le biais de sa fondation, son militantisme contre les violences faites aux femmes, sa soif de liberté, sa capacité de résistance et son sang froid sont autant d’éléments qui en font une égérie à tous les sens du terme.
Chimamanda Ngozi Adichie
En plus d'aimer sa plume qui pousse à la réflexion au delà des clichés sur l’Afrique et sur la femme Africaine. Tchonté Silué confesse que sa muse l'écrivaine nigériane Chimamanda Ngozi Adichie est l’une des personnes qui lui a donné envie de mieux connaître sa culture et le goût de la mettre en valeur.